Voici une liste de 29 concepts indispensables à connaître quand on a l’ambition de devenir la meilleure version de soi-même.
Ce parcours est infini, on peut s’améliorer en permanence et devenir meilleur chaque jour. Depuis que j’ai décidé de me reprendre en main il y a quelques années, j’ai pu extraire ce nectar de mes expériences et apprentissages tout au long du chemin parcouru jusqu’à présent.
Toute discipline part de principes fondamentaux. Et voici la liste (subjective et sûrement incomplète) qui, selon moi regroupe les fondements de cette partie de la psychologie accessible à tous qu’est le développement personnel.
I. Introspection
Avant de m’intéresser au développement personnel, je ne savais même pas que ça existait. Si vous lisez cet article, c’est que votre aventure a déjà commencé. Que vous connaissiez certains des concepts ou que vous débutiez complètement, vous devriez y trouver de quoi titiller votre cerveau.
Dans tous les cas, bon voyage …
Avec le temps, chaque point sera relié à un article séparé qui développera le concept et fournira des conseils pratiques.

1. Prise de conscience
Vous ne pouvez pas changer quelque chose dont vous n’avez pas conscience.
Bien que l’ordre de cette liste soit subjectif et susceptible de changer, la première étape est obligatoirement la prise de conscience de la situation actuelle.
Si vous voulez changer certains comportements, il faut d’abord savoir quels sont vos comportements automatiques actuels.
Prendre conscience de la réalité est un premier pas vers le changement.
Comment ? Un « éclair » peut arriver en suivant thérapie, en tenant un journal, en discutant avec des amis. Il n’y a pas de science exacte. Une seule chose est sûre : il faut le vouloir.
2. Acceptation
Bien sûr, prendre conscience ne suffit pas. Sinon cette liste serait déjà terminée. Après avoir ouvert les yeux sur la situation, il faut l’accepter.
Comment régler un problème qu’on refuse de voir ? Même si quelqu’un d’autre vous met le problème sous le nez, l’acceptation ne dépend que de vous-même. Et de votre égo.
Cela peut piquer un peu au début, mais accepter ses défauts et faiblesses est une preuve d’honnêteté envers soi-même. Et un petit pas de plus vers le progrès.
3. Connaissance de soi
La connaissance de soi, de ses qualités et défauts, permet d’avoir une meilleure idée de ce qu’il y a à corriger et de tirer partie de ce qu’on sait faire de mieux.
Que ce soit pour une carrière normale, un projet entrepreneurial, ou même une nouvelle activité artistique … Sans se connaître, comment savoir où chercher ?
J’ai commencé mes fouilles juste avant mes 30 ans. Avant cela, je vivais et agissais trop souvent à travers les autres. À force de me préoccuper de ce que je leur donne à connaître de moi-même, j’en ai oublié d’apprendre moi-même à me connaître.
4. Croyances limitantes
Il y a ce qu’on sait de soi, puis il y a ce qu’on croit savoir. Et on peut y croire dur comme fer.
Des croyances limitent souvent nos capacités. Dans une interview, un journaliste dit à Kanye West d’un air moqueur mal dissimulé : « Vous pensez avoir un potentiel illimité » et Kanye lui répond : « Oui, je n’ai aucune limite. Et vous non plus. »
C’est une question de croyances. Vous ne réaliserez jamais ce que vous ne croyez pas être capable de faire.
5. Valeurs
Les valeurs sont une boussole. C’est ce qui nous anime réellement. Même quand on n’en a pas conscience.
Nous avons tous des valeurs. En prendre conscience est déterminant dans les choix et décisions que nous prenons au quotidien. Derrière toute motivation superficielle se cache une valeur profonde.
De nombreuses personnes veulent gagner beaucoup d’argent. Mais si on creuse un peu, on remarque que certaines cherchent la liberté qu’offre l’argent, d’autres préfèrent la sécurité financière.
6. Responsabilité
Nous ne sommes pas responsables de tout ce qui nous arrive, mais nous sommes responsables de nos réactions face aux événements.
Réaliser que vous êtes responsable de vos bonnes comme de vos mauvaises expériences, c’est un premier pas vers la liberté.
« Le mauvais temps me casse le moral » , « Je ne trouve pas de boulot à cause de la crise », « Je manque de confiance à cause de mon éducation », …
Si vous ne perdez plus votre temps à chercher un coupable pour toutes vos sources de mauvaise humeur et que vous acceptez d’en être le maître, vous pouvez rapidement reprendre le contrôle de votre vie.
7. Les peurs
L’échec, le regard des autres, la réussite, l’inconnu, …
J’aurais pu les mettre dans les croyances limitantes, mais je trouve que les peurs sont plus profondes. Elles sont viscérales.
Et de fait, là où les croyances viennent de notre expérience de vie et de notre éducation, les peurs viennent de plus loin. Pour nos ancêtres préhistoriques, un échec, un rejet du groupe, ou s’aventurer vers l’inconnu étaient synonymes de mort.
Le monde a évolué trop vite pour notre cerveau.
Mais comme nous avons vu au premier point, prendre conscience de nos peurs peut nous aider à nous en débarrasser.
8. Psychologie
Le développement personnel, c’est de la psychologie pour ceux qui n’aiment pas dire qu’ils sont en thérapie.
Lire quelques bons livres de dev perso, c’est thérapeutique. En Europe occidentale, contrairement aux Etats-Unis notamment, consulter un psy est un peu « honteux ».
Quoi qu’il en soit, le développement personnel est thérapeutique et lié à la psychologie.
S’ouvrir à la psychologie et à la psychothérapie permet de mieux comprendre les activités mentales et comportements humains. Chez les autres, et chez soi. Surtout chez soi.
Ça tombe bien, c’est notre but.
9. Philosophie
Les réflexions sur soi amènent des questionnements plus profonds.
Chacun développe sa manière de voir et comprendre le monde et le rôle de l’humain dans l’univers. Dans l’ensemble de cette première partie introspective, on cherche à mieux se comprendre et à mieux se connaître. Et cela passe par la philosophie.
La philosophie peut servir de guide de pensée et de comportements. En préparant cet article, je remarque que certains principes de cette liste sont partagés par le stoïcisme, courant philosophique ancien revenu à la mode.
10. Besoins fondamentaux
Nos motivations proviennent de besoins humains fondamentaux.
Que vous vouliez devenir millionaire ou sauver la planète du dérèglement climatique, votre motivation profonde vient d’un besoin fondamental, pas du « simple » fait de sauver le monde ou gagner de l’argent.
Selon Maslow, les besoins fondamentaux peuvent être physiologiques, liés à la sécurité, à l’appartenance, à l’estime, à l’accomplissement de soi et même au dépassement de soi.
Prendre conscience (encore celle-là !) des besoins qui vous animent en ce moment peut être un bon point de départ pour la suite du parcours.
II. Se préparer à devenir la meilleure version de soi-même
Après la partie introspective, nous allons mettre un pied dans la pratique. Calmement. On ne saute pas encore dans le grand bain.
Avant d’y plonger, il faut se préparer…

11. Objectifs
La première chose à savoir, c’est où vous voulez aller. Le piège est d’être trop vague.
Plus un objectif est clair et précis, plus on a de chances de l’atteindre. Pour nous aider, la méthode SMART existe.
SMART pour Spécifique, Mesurable, Atteignable, Réaliste, Temporel.
Si vos objectifs possèdent ces 5 caractéristiques, vous augmentez vos chances de les réaliser.
12. Priorités
Mieux gérer ses priorités, c’est savoir distinguer ce qui est urgent de ce qui est important.
Ce qui doit être fait rapidement est vu comme important. Et après coup, on remarque que les choses vraiment importantes s’étalent dans le temps, contrairement aux tâches urgentes.
Quelles sont vos priorités pour les 3 prochains mois ? Quand vous les avez listées, revenez au point 11 et définissez un objectif SMART pour chacune d’entre elles.
13. Organisation, productivité et gestion du temps
Une fois que vous connaissez vos priorités et que vous les avez traduites en objectifs clairs et spécifiques, il va falloir s’organiser pour les atteindre.
C’est un de mes points faibles. Et pourtant j’en connais la puissance.
- Diviser le but principal en sous-objectifs plus faciles et rapides à atteindre
- Consacrer 20% de son temps aux tâches qui apportent 80% des résultats. Le principe de Pareto.
Pour une réelle efficacité, il vaut mieux prendre goût au processus plutôt que viser uniquement la fin. Ce processus, ces tâches quotidiennes, pour certaines, peuvent devenir … des habitudes.
14. Habitudes et routine
Les habitudes quotidiennes, comme les fameuses routines matinales, sont sans doute l’arme la plus importante à maîtriser quand on veut prendre son destin en main.
Bon, tous les concepts de cette liste sont importants, mais j’ai une affection particulière pour les habitudes. Et c’est pourtant un autre de mes points faibles !
Ce qui est le plus important n’est pas l’action ponctuelle, mais l’effet cumulé de ces habitudes.
Un paquet de chips ou 20 abdos, 20 pompes et 20 squats — aujourd’hui — n’aura rien changé demain. Mais la même dose quotidienne pendant un an…
Les petits ruisseaux font les grandes rivières. (Ovide)
15. Minimalisme
» – = + » . Less is more, moins c’est plus (ça sonne mieux en anglais).
Retirer le superflu et se concentrer sur l’essentiel. Matériellement et immatériellement. Parfois, on avance mieux quand on décide de faire moins de choses. Ajouter des pensées ou des objets à notre quotidien contribue à polluer notre esprit et diminuer notre bien-être.
Parfois, ne rien faire aide à se « sortir la tête du guidon » et à trouver de nouvelles idées ou solutions à des problèmes qu’on pensait impossibles à résoudre.
Bref. Veillez à en pas avoir trop de choses à faire en même temps. Faire moins incite à faire mieux.
16. Hygiène naturelle : physiologie & énergie
Mens sana in corpore sano. Un esprit sain dans un corps sain. L’hygiène naturelle, c’est la manière dont on alimente et soigne le corps et l’esprit, et la relation qu’il existe entre les deux.
Se tenir droit, la tête haute, contrôler sa respiration, s’alimenter sainement et en petites quantités, pratiquer une activité physique régulière …
Gros sujet. Simple, mais pas facile.
Pour reprendre le contrôle de votre hygiène naturelle, je vous propose de vous lancer des défis de 30 jours. Mais les défis, on en parle plus tard.
17. Auto-discipline
L’auto-discipline, c’est comme un muscle. Elle est faible si on ne l’exerce pas.
Par nature, les humains cherchent le bénéfice immédiat, la gratification instantanée. À la préhistoire, c’était une question de survie, comme les peurs. S’il y avait une baie sucrée, il fallait tout de suite la manger pour avoir de l’énergie rapidement.
L’auto-discipline offre des avantages sur le long terme. Ce qui correspond mieux à notre mode de vie actuel.
Pour l’exercer, on s’appuiera notamment sur les objectifs, les habitudes et les routines. Plus vous vous entraînez, plus c’est facile.
18. Prise de décisions
Prendre des décisions est difficile pour une bonne partie d’entre nous. Faire un choix, c’est aussi renoncer.
Mais décider, c’est surtout avancer. Que ce soit dans la bonne ou la mauvaise direction. Et le seul moyen de savoir si c’est bon ou mauvais, c’est de se décider à aller voir.
On prend la plupart de nos décisions en fonction de notre expérience personnelle. Cette expérience imprime en nous des modèles mentaux qui nous assistent dans nos choix futurs.
Et quand cette expérience nous manque, on peut s’inspirer de celle des autres. Des modèles mentaux déjà établis depuis des siècles.
19. L’art de (se) poser les bonnes questions
Poser et se poser des questions efficaces permet d’améliorer l’esprit critique, les décisions, la créativité et les relations.
Se poser de bonnes questions permet d’apprendre à mieux se connaître, se comprendre et savoir ce dont on a besoin. C’est déjà pas mal.
Les réponses aux bonnes questions sont des éléments importants dans la prise de décision. Que ce soit pour une destination de vacances ou un choix de carrière.
Au niveau des relations, demander plusieurs fois « Et à part ça, ça va ? » dans la même conversation peut être maladroit. Des questions plus intéressantes existent pour briser la glace et renforcer des relations qui méritent de l’être.
20. L’engagement
« Il n’y a pas de réussite durable sans engagement. » C’est une des croyances à adopter pour se donner plus de chances de réussir sa vie, selon Anthony Robbins dans son livre Pouvoir illimité.
J’ai souvent entamé des projets, des activités, et même des relations sans réellement m’engager. J’ai longtemps cru à la facilité, la voie rapide. Cela m’a coûté cher : peu d’accomplissements, peu d’évolution, et des amis qui s’éloignent.
Faire les choses à moitié est dangereux. L’engagement demande du courage, car il faut faire des choix. Et comme on l’a vu plus haut, choisir c’est renoncer.
On ne peut pas accomplir de grandes choses sans un engagement profond.
III. Passer à l’action pour devenir meilleur chaque jour
Après l’introspection et la préparation — plutôt mentale bien qu’axée sur la pratique — on va entrer dans une phase encore plus active.

21. Auto-éducation
L’éducation ne s’arrête pas après l’école. Pourtant, la majorité d’entre nous ne continue pas à apprendre une fois que la scolarité est terminée.
Pour progresser, il est indispensable de continuer à s’éduquer en continu grâce aux livres, à des conférences, des formations, des podcasts, ou des documentaires. Il existe des ressources enrichissantes (même gratuitement) aux quatre coins du web. Autant en profiter.
S’auto-éduquer en continu permet de développer de nouvelles compétences, de s’intéresser à de nouvelles choses, rencontrer de nouvelles personnes, et bien sûr d’évoluer soi-même.
L’auto-éducation est le coeur de mon projet, à travers ce blog. Et elle englobe tous les concepts de cette liste.
22. Communication
Développer sa conscience de soi est l’un des travaux les plus importants à accomplir. Mais l’humain est un animal social depuis le début de son histoire et l’interaction avec les autres est indispensable à sa survie.
Une communication efficace permettrait d’éviter de nombreux conflits, d’apprendre à connaître les autres, accepter les différences et en faire des forces.
Pour apprendre à mieux communiquer, rien de plus simple. Il faut pratiquer. J’ai dit « simple », je n’ai pas dit « facile ». Des techniques de communication assertive et non-violente existent et fonctionnent aussi bien dans un cercle familial que dans une grande entreprise.
Communiquer, c’est aussi écouter et vouloir sincèrement comprendre, se faire entendre sans agressivité, chercher ensemble des solutions nouvelles plutôt qu’imposer son point de vue personnel.
23. Relations
Selon Jim Rohn, mastodonte du développement personnel, nous sommes la moyenne des cinq personnes que nous fréquentons le plus.
L’idée est de choisir soigneusement son entourage. Je ne partage pas l’avis des personnes qui disent qu’il faut se séparer des gens qui ne vont pas dans notre sens et qui ne nous encouragent pas à accomplir notre mission.
Selon moi, si vous pouvez être la moyenne des cinq personnes que vous fréquentez le plus, alors vous êtes un cinquième de l’entourage de quelqu’un. Et vous pouvez avoir un rôle à jouer dans l’amélioration du même entourage. Cela rejoint le concept de responsabilité dont je parlais plus haut. Compter sur les autres sans prendre les choses en main, c’est de la passivité.
Dans tous les cas, l’entourage joue un rôle majeur dans notre réussite. Qu’on en choisisse un nouveau ou qu’on soigne celui qu’on a déjà.
24. Mimétisme
Les enfants apprennent par mimétisme. Le langage, le comportement, la pensée, tout passe par l’imitation d’un modèle jusqu’à accumuler assez de données pour créer sa propre façon de faire.
Cela se passe plus ou moins rapidement selon les personnalités, mais ce qui est sûr, c’est que si on peut apprendre à survivre et à vivre grâce au mimétisme, on peut apprendre à se dépasser grâce aux mêmes mécanismes.
Pour apprendre de nouvelles compétences, pourquoi ne pas laisser faire notre enfant intérieur ?
Trouver un ou plusieurs modèles à imiter jusqu’à comprendre ce qui fonctionne pour soi et l’adapter pour créer une nouvelle manière de faire, et pourquoi pas, devenir un modèle pour quelqu’un d’autre.
25. Défis
Passons aux choses sérieuses. J’ai découvert que ce qui marchait le mieux sur moi pour apprendre de nouvelles choses ou créer de nouvelles habitudes, ce sont les défis.
Quand vous vous lancez un défi, vous utilisez l’esprit de compétition et la pression sociale, qui sont tous les deux naturels, à votre avantage.
Il y a quelques mois, mon défi était de publier 31 articles en 31 jours sur ce blog. Avant cela, je publiais de manière irrégulière et j’étais souvent bloqué par le perfectionnisme. En plus de l’avoir réussi, ce défi m’a aidé à vaincre le perfectionnisme et à plus souvent passer à l’action.
Les défis, ce sont des objectifs spécifiques qui demandent une routine bien précise, et qui en plus, impliquent plusieurs personnes. Vous transformez votre vie en un jeu et vous vous améliorez en vous amusant.
26. Action
Tous les concepts de cette liste ne servent à rien sans passage à l’action.
Agir, c’est faire un pas vers la réussite. Même en échouant. L’action permet de mettre en lumière ce qui ne fonctionne pas, de le corriger et de faire mieux la fois suivante. Passer à l’action est la seule manière de savoir ce qui marche ou non dans la préparation, et de s’adapter en conséquence.
Vous pouvez penser aussi fort que vous voulez à votre recette, tant que vous n’aurez pas goûté la sauce, vous ne saurez pas qu’elle manque de sel.
27. Régularité
On y a déjà fait allusion avec les objectifs, les habitudes et les routines. La régularité est ce qui permet de rendre un grand projet facilement réalisable.
Malheureusement, notre instinct primitif nous tire vers la gratification instantanée et les récompenses immédiates. Faire un petit effort chaque jour pour un gain futur est difficile à concevoir.
Je sais de quoi je parle, je manque de régularité et en subis souvent les conséquences. Mais j’y travaille.
La régularité, comme l’auto-discipline, permet d’accomplir de grandes choses sans forcer. La régularité, c’est de faire de petites gestes quotidiens sans rien recevoir en retour.
Bonus 1 : L’estime de soi et la confiance en soi
On arrive au bout. Vous vous êtes peut-être demandé au cours de la lecture de cet article à quel moment j’allais parler de confiance en soi.
J’ai décidé d’attendre la toute fin car selon moi, tout ce chemin mène automatiquement à une meilleure estime de soi et à une meilleure confiance en soi.
À chaque étape, à chaque palier franchi, c’est comme si vous gagniez des points. Chaque action réussie vous apporte une plus grande confiance pour aborder la suivante. Et le fait d’agir pour un mieux renforce petit à petit l’estime que vous avez de vous-même.
Mais attention, cela va dans les deux sens. Vous pouvez facilement plomber votre estime de vous-même en allant contre vos valeurs et en choisissant les mauvais chemins, sans corriger la trajectoire.
Bonus 2 : Le processus
Une dernière petite note importante que j’avais envie d’inclure dans cet article : l’appréciation du processus.
Selon James Clear, auteur de Atomic Habits (Un rien peut tout changer, en français), il est plus facile d’adopter des bonnes habitudes quand on prend goût au parcours plutôt qu’à la vision de la fin en elle-même.
Apprécier le processus, c’est se satisfaire de chaque petite action quotidienne au lieu d’attendre que le projet soit terminé pour s’autoriser à célébrer.
De cette manière, chaque action est une réussite et chaque réussite encourage à passer au prochain niveau.
La vie est un jeu, en fait.
Ping : Changer de comportement et d'habitudes : par où commencer ?
Quelle clarté dans l’exposé. Votre plume vous mènera loin. Si vous la suivez.
D’ores et déjà grand merci pour le cadeau de votre système de prises de notes. J’ai adopté.
Je garde un œil sur votre blog. Cela m’arrive très rarement !
Bonne continuation.
Merci pour ces magnifiques compliments Lily ! Ça me touche. J’ai bien l’intention de suivre ma plume !
Et d’apporter toujours plus de choses intéressantes à lire 🙂
J’adore ce genre d’inventaire exhaustif ! Autant de pistes à creuser au besoin 🙂 Merci Kevin
Content que ça te plaise Nicolas ! Merci pour ton commentaire